Donkey Kong Country: Tropical Freeze est à mes yeux le meilleur jeu de plates-formes 2D de tous les temps !
Jadis, seul Diddy pouvait grimper sur nos épaules : cette fois-ci, nous avons aussi Dixie et Cranky. Diddy conserve ses jet-packs qui permettent d'adoucir les chutes et de gagner un peu de distance horizontale. Dixie, quant à elle, propose un double-saut bien utile pour gagner de la hauteur et se rattraper au long des nombreuses phases de plates-formes. Cranky se prend pour Picsou dans DuckTales et se sert de sa canne comme d'un bâton à ressort pour écraser les ennemis et traverser les ronces et les picots sans difficulté.
Le mode Funky, qui fut tant moqué, nous permet de profiter de l'aventure aux commandes d'un personnage quasi-invincible, l'idéal pour les joueurs occasionnels qui ont toujours été laissés pour compte par les Donkey Kong Country.
Les niveaux ont atteint un niveau d'inventivité et d'exigence inédit dans le genre et se distinguent tous franchement les uns des autres : c'est une véritable leçon de level-design que j'aime plus que tout, et qui est poussée ici dans ses ultimes retranchements. Si je prends par-exemple le monde 5 : on commence dans une zone avec pleins de fruits, on entre dans une usine qui les écrase et les transforme en jus, ensuite on a le niveau où les fruits sont en gélatine qui servent à rebondir puis les desserts sont congelés dans le dernier niveau ce qui fait des plateformes de glace. Non seulement on peut voir l'évolution du fruit mais chaque transformation est associée à une mécanique de gameplay.
Le nouveau bestiaire est marquant, les Frigoths ont une personnalité marquée, hilarante et mystérieuse. Les petits pingouins se dodelinent mignardement avec leur casques à pointes et leurs lances, les morses ont des moustaches broussailleuses, les archers nous visent avec des sardines congelées. Tous les ennemis ont quelque chose pour plaire, un détail dans leur apparence ou leur démarche qui les rendent attachants. Les boss, c'est un sans-faute. Tous uniques, tous mémorables : du phoque artiste de cirque à l'ours polaire au maillet géant, et jusqu'à Frighorrifik le patron de la clique à l'impressionnante stature...
Chaque moment de l'aventure est un chef d'œuvre en lui-même. Un délice graphique, aux nombreux détails, à la musique prodigieuse signée David Wise encore une fois, à la jouabilité sans faille, au rythme scrupuleusement pensé pour s'adapter à tous les joueurs.
Jadis, seul Diddy pouvait grimper sur nos épaules : cette fois-ci, nous avons aussi Dixie et Cranky. Diddy conserve ses jet-packs qui permettent d'adoucir les chutes et de gagner un peu de distance horizontale. Dixie, quant à elle, propose un double-saut bien utile pour gagner de la hauteur et se rattraper au long des nombreuses phases de plates-formes. Cranky se prend pour Picsou dans DuckTales et se sert de sa canne comme d'un bâton à ressort pour écraser les ennemis et traverser les ronces et les picots sans difficulté.
Le mode Funky, qui fut tant moqué, nous permet de profiter de l'aventure aux commandes d'un personnage quasi-invincible, l'idéal pour les joueurs occasionnels qui ont toujours été laissés pour compte par les Donkey Kong Country.
Les niveaux ont atteint un niveau d'inventivité et d'exigence inédit dans le genre et se distinguent tous franchement les uns des autres : c'est une véritable leçon de level-design que j'aime plus que tout, et qui est poussée ici dans ses ultimes retranchements. Si je prends par-exemple le monde 5 : on commence dans une zone avec pleins de fruits, on entre dans une usine qui les écrase et les transforme en jus, ensuite on a le niveau où les fruits sont en gélatine qui servent à rebondir puis les desserts sont congelés dans le dernier niveau ce qui fait des plateformes de glace. Non seulement on peut voir l'évolution du fruit mais chaque transformation est associée à une mécanique de gameplay.
Le nouveau bestiaire est marquant, les Frigoths ont une personnalité marquée, hilarante et mystérieuse. Les petits pingouins se dodelinent mignardement avec leur casques à pointes et leurs lances, les morses ont des moustaches broussailleuses, les archers nous visent avec des sardines congelées. Tous les ennemis ont quelque chose pour plaire, un détail dans leur apparence ou leur démarche qui les rendent attachants. Les boss, c'est un sans-faute. Tous uniques, tous mémorables : du phoque artiste de cirque à l'ours polaire au maillet géant, et jusqu'à Frighorrifik le patron de la clique à l'impressionnante stature...
Chaque moment de l'aventure est un chef d'œuvre en lui-même. Un délice graphique, aux nombreux détails, à la musique prodigieuse signée David Wise encore une fois, à la jouabilité sans faille, au rythme scrupuleusement pensé pour s'adapter à tous les joueurs.