The Last Campfire est un petit jeu doux-amer très agréable, tantôt mélancolique, tantôt optimiste avec une volonté d'aller de l'avant et de recherche d'espoir.

On a la un petit jeu d'exploration saupoudré de puzzle dans un univers coloré aux tons alternant froid et chaud, adapté à l'évolution du récit, dont le thème principal est la mélancolie.
Une mélancolie qui sera représenté sous diverse forme : Peur d'échouer, de continuer, de voir les autres disparaitre, ... mais également avec les réponses auxquels on peut y trouver, afin de continuer à aller de l'avant. Le jeu fait un joli travail sur l'ambiance et l'atmosphère, que ça soit d'un point de vue graphique ou sonore.
Ambiance qui sera soutenu grâce à son narrateur racontant les différents péripéties tel un conte sur un ton juste et adapté.

Le point qui pourra rebuter est cependant l'aspect challenge, qui est absent. Le jeu se focalise avant tout sur son ambiance, les puzzle et l'exploration sont de ce fait très simple. Ce qui ne les empêche pas d'être agréable à prendre en main, mais ce n'est pas un jeu où il vous faut vous attendre à cogiter beaucoup pour avancer, hormis 2/3 exceptions.

Pour conclure, si vous cherchez un petit jeu assez simple à prendre en main et plutôt court, ou un jeu à l'ambiance douce-amer et mélancolique, alors The Last Campfire sera un très bon choix.

Le spin off Persona 5 de trop ?

Après les deux premières zones, je n'arrive pas à me motiver à le finir. Non pas que ça soit un mauvais jeu, il n'arrive cependant pas à m’intéresser à le compléter.

Le coté tactical est assez simple à prendre en main, mais est à mon gout trop brouillon, avec un manque de précision dans l'affichage des dégâts ou des zones d'actions. Qui plus est, je trouve que les combats/maps manque cruellement de dynamisme, malgré des efforts pour diversifier le gameplay dans la seconde zone.

Cela ne serais pas tant un soucis si l'écriture du jeu était captivante, or je ne pas dire que ça sois le cas. Contrairement au Strikers qui proposait une nouvelle aventure centrés sur nos héros en y intégrant de nouvelles têtes, ici le récit est focalisé sur deux personnage et les voleurs font office de second rôle.
Si autant Erina à un caractère amusant, Toshiro ne m’intéresse guère plus qu'une tranche de tofu non assaisonné , or c'est bien sur lui que se concentre le récit principal... Et c'est sans parler du coté totalement unidimensionnelle des voleurs fantômes qui font passer leur temps à répéter leur comique de caractère au point que certains tels que Yusuke finissent par n'être plus que des parodies d'eux mêmes ..

Peut etre que je suis trop sévère, mais la ou Strikers avait réussi à enrichir l'univers de Persona 5 en complétant certains personnages et en apportant un aventure à la hauteur du jeu principal, Tactica à un gout d'hors série qui n’intéressera vraiment que les fans les plus investi de P5 cherchant absolument une nouvelle aventure avec les voleurs fantômes.

J'essayerais peut être de lui redonner sa chance à l'occasion, mais pour le moment j'ai d'autre Trpg sur le four.

Une hackroom de Cristal assez simple dans son concept mais très efficace : Proposer une expérience très semblable au jeu original mais en gommant les défaut majeur de celui ci, afin d'en faire une version "ultime", qui passera par une meilleur répartition de la distribution des Pokémon autant sauvage que ceux des dresseur, une courbe de niveau plus cohérente et un amélioration de la difficulté assez juste afin de proposer un meilleur challenge que le jeu original sans pour autant partir dans un délire hardcore.

J'ai beaucoup apprécié la cohérence des choix d'équilibrages qui font sens et ne dénature pas le jeu original. Un peu moins apprécié l'ajout d'une scène supplémentaire qui me semblait un peu trop fanfiction (Tour Radio) mais bon ce n'est que deux ligne de dialogue oubliable.

Globalement, une bonne façon de redécouvrir le deuxième génération. Et pouvoir finir Cristal en ayant à la fois Cizayox et Hyporoi dans sa team, c'est extra.

Hero of the Ice Fairy est une excellente surprise que j'ai découvert par hasard, et je le classerais très haut dans ma liste des meilleurs fangame autour de l'univers Touhou

Il s'agit d'un jeu 2D de type Boss Rush avec un bon challenge, nerveux et technique et proposant un solide challenge. Le jeu possède un joli chara design, et une très bonne ost avec des reprise de qualité. Globalement, on sent que beaucoup de soin et d'investissement on été porté sur ce fangame.

L'histoire est aussi très solide pour un fangame, et j'ai d'autant plus apprécié qu'il s'agit d'un jeu mettant en scène Cirno sans la faire passer pour une total demeuré, mais plutôt comme étant un peu trop naïve et prétentieuse mais avec un bon fond, ce qui est clairement la meilleur façon de voir le personnage. On a aussi droit a quelque effet de mise en scène et de cinématique assez bien fichue.

Comme je le disant en intro, c'est un excellent jeu pour toute personne intéressé par l'univers Touhou, qui a bénéficier de beaucoup de soin. D'autant plus que ce jeu ne coute que 7€

The Legend of Dark Witch est un action platformer 2D Megaman-like avec une esthétique très moe, où l'on contrôle une déesse nommé Zizou à la recherche de cristaux magique dérobés.

Le jeu se présente d'une façon identique aux Megaman, que ce soit dans ses niveaux ou Boss, avec en plus une barre de puissance similaire aux jeux Gradius. Une formule qui a déjà fait ses preuves, mais avec une difficulté moins pénible que les vieux Megaman qui saura néanmoins proposer un bon challenge en mode normal (bien que certains passage peut se montrer assez frustrant). Le mode facile manque néanmoins beaucoup trop de challenge.

Il est possible de refaire le jeu une nouvelle fois avec un autre personnage mais pour être honnête cette seconde route est un peu superflu hormis les nouvelles interactions, puisque la seconde héroïne propose juste un gameplay moins maniable, avec notamment une portée ridicule.

Pour le reste, on a un DA un peu simpliste mais coloré, un chara design efficace si on aime les styles Moe, un BO sympathique et quelque bonus accessible une fois le jeu finis. Il est néanmoins un peu court, comptez 3 heures pour une seule route, mais d'un côté il ne coute vraiment pas cher non plus.

Pour conclure, The Legend of Dark Witch est un jeu sympathique qui bien que parfois un peu frustrant et un peu simpliste, remplis son rôle de petit jeu . Un parfait encas entre deux gros projets.

Quel épopée, ce fut mon premier Dragon Quest et je n'ai pas été déçu du voyage. Une grande aventure plaisante à parcourir.

DQ 11 semble en premier lieu très classique, que ça soit dans son récit ou ses combats, et c'est normal puisqu'il est effectivement, très classique. Cependant, il le fait vraiment bien, à un point qu'il sens bon le JRPG de l’ère super nintendo . Le jeu dispose d'un cast très attachant et coloré, et propose un monde qui est à la fois massive à explorer sans pour autant être un open world.
Le récit arrive parfaitement à alterner entre les ambiances très colorées et joviales et ses moments plus sérieux, et à mélanger les deux quand il est nécessaire. Il arrive aussi à se montrer dur, notamment pendant le deuxième chapitre qui est assez touchant sur ce point.

Le jeu possède également beaucoup d'option diversité, que ça soit pour épicer sa partie ou changer d'un mode de jeu 3D à un style tout rétro, sans compter les possibilités de build des personnages. Aussi, le jeu est très joli, et le chara design d'Akira Toriyama fonctionne toujours aussi bien.

Néanmoins, j'ai quand même quelque point à reprocher, en particulier celui qui a le plus diviser, à savoir le troisième acte, un chapitre qui apparaît comme un postgame bonus mais qui se révèle être la véritable conclusion de l'histoire.
Sans vouloir spoiler le contenu, ce troisième chapitre va revenir sur certains éléments ayant eu lieu pendant le deuxième acte et révélé le véritable antagoniste du récit. On gagne en lore, mais au prix de la dynamique de récit et de l'ambiance qui avait instauré une conclusion douce amer (du moins semblait), et qui va atténuer beaucoup au développement de certains personnages, afin de permettre une fin où tout le monde est sauvé. Certains éléments vont paraître répétitifs et vont manquer d'impact par rapport à ce qui s'était fait dans le deuxième acte

Il y a certes certains passages qui apportent quelque chose, comme la reconstruction du village, mais de mon point de vue on perd plus que ce que l'on gagne, le tout en ajoutant une trentaine d'heures supplémentaires à un jeu déjà long. Cela restait sympa à faire, mais je pense que la fin du deuxième chapitre aurait fait une bien meilleure conclusion, d'autant que le véritable antagoniste apporte pas quelque chose de nécessaire.

Autre élément moins gênant : le personnage de Genma. Ami d'enfance du héros, elle est sous entendu être une personne importante pour le héros le principal love interest du jeu (D'ailleurs, il s'agit du seul sur la version vanilla). Le problème, c'est qu'il s'agit d'un personnage que l'on voit pendant moins d'une heure cumulée ... dans un jeu qui en fera minimum au moins 80 pour tout finir. De ce fait, difficile d'être vraiment attaché à elle malgré son gentil caractère alors qu'elle est totalement en retraite tout le long du jeu, ce qui est dommage pour une soi-disant héroïne principale, là où ce statut semblerait revenir plus légitimement à certains compagnons d'aventures. Après en sois, il s'agit d'un contenu bonus et la version Switch ayant étendu le nombre de personnages "épousables", ce n'est pas tant un problème, juste un acte manqué.

Pour finir, les musiques. Elles ne sont pas mauvaises loin de là, mais elles ne sont pas marquante pour autant, ce qui est dommage pour un RPG aussi massif.

Cela ne retire rien à ses qualités et malgré le fait que je donne l'impression d'être sévère sur sa dernière partie, Dragon Quest XI est indéniablement un grand jeu, et si vous etes fan de JRPG, je ne peux que vous le recommander.

Je ne suis pas du genre à crier à la mort du jeux vidéo, mais quand je vois une série de RPG de plus de 25 ans et forte de plus d'une vingtaine de jeux principaux (sans compter les spin-off) annoncer que le prochain jeu principal de sa série serait un gacha live service, il y à de quoi être pessimiste pour la suite.

Alors oui il y a du soin qui a été apporté sur certains éléments, comme la modélisation des personnages ou les chara design, mais pour le reste ça n'est qu'un gacha avec tout les problèmes que cela implique, avec un système de monétisation exécrable (qui n'est loin d’être parmi les gachas les plus généreux) ou encore l'épuration du gameplay de façon à coller à un système live service rentable.

J’espère que les producteurs auront rapidement de bonnes nouvelles à nous annoncer autour de la série, mais sachant qu'il ne s'agit pas d'un dérivé (comme FEH) mais bel et bien d'un jeu mainline, j'ai quand même quelque craintes sur le futur de la série.
Après pour être honnête, entre le coté très niche de la série, la surabondance de gachas sur le marché et la majorité des retours négatives autour de ce titre, j'ai du mal à voir le serveur international rester ouvert intégralement.

Ppl be like "Look i'm a cool kid I play Pokemon but with gun what are you going to do Gamefreak ?" then proceed to play an Ark clone that look nothing like Pokemon

Heroes est un jeu sur lequel j'ai passé beaucoup de temps de par mon amour pour la série Fire Emblem mais honnêtement ce n'est pas un bon jeu, et ce même pour un gacha.
Si le gameplay a réussi a transcrire de façon minimaliste celui de la licence, le jeu manque cruellement de mode de jeu intéressant et son powercreep excessif à l’excès me font me demander comment certains arrivent encore à s'investir sérieusement dedans.

Le jeu nous permet néanmoins d'avoir régulièrement des illustrations pour des personnages complètement délaissés par les artistes depuis plusieurs années, et a permis de faire grandir des communautés sur les jeux les plus obscurs de la licence tel que Genealogy, en plus de mettre la lumière sur plein d'artistes talentueux tel que Suzuki Rika qui fait de loin les meilleures illustrations de la licence.
Rien que pour ça son existence a un intérêt malgré la montagne de défaut qu'il peut avoir. Pour ma part j'ai lâché l'affaire depuis un moment, mais je continue à me régaler en voyant les différentes illustrations qui peuvent sortir grâce à ce jeu

Review pour le Disque Indigo puis l’Épilogue

Le Disque Indigo

Le DLC peut se décomposer en deux parties : L'Académie et la Zone Zéro

L'Académie est plutôt sympathique. La nouvelle zone manque un peu de charme de mon point de vue même si les références à la 5G sont plutôt cool, mais j'ai bien aimé les nouveaux personnages. Le point fort est cependant l'ajout de challenge : les équipes des dresseurs, même le plus simple, sont bien construites et surtout ont lieu en duo, un mode de jeu sous-exploité dans la licence qui profite pourtant d'une bien meilleure diversité stratégique que le solo (ce n'est pas pour rien que la compétition officielle a lieu en duo). L'histoire va quant à elle sera centré sur Kassis, devenu méconnaissable depuis le DLC1

La Zone Zéro est quant à elle ... mitigé. Partie la plus narrative censée expliquer le mystère de la zone zéro, l'histoire va en réalité être un prétexte pour finir de raconter le développement de Kassis, et laissera beaucoup plus d'interrogation que de réponse. Si à mes yeux ce n'est pas tant un problème d'entretenir le mystère plutôt que de tout raconter, mon reproche est plutôt sur la gestion du légendaire, Terapagos. Vendu comme la clé derrière le téra-cristal, son existence ne sera jamais expliquée, mais en plus le jeu ne réussira pas à créer un attachement vis-à-vis de ce dernier contrairement à Ogerpon et Miraidon.Dommage.

L’Épilogue

Contenu surprise annoncé après la sortie du DLC2, ce fut une petite quête sympathique. Certes, il ne répondra à aucune des questions sans réponse puisqu'il ne s'intéresse pas à la zone zéro, mais il propose une dernière interaction avec le cast originel et fini de conclure le personnage de Kieran et propose quelque chose qui n'avait pas été fait depuis longtemps : du contenu in-game lié à un fabuleux.
Cependant cette quête s'active grâce à un cadeau mystère, donc il se pourrait qu'elle ne soit pas disponible indéfiniment.

En conclusion, un DLC sympathique, plus intéressant que ce qui avait pu être proposé lors des DLC 8G, mais qui aurait pu un peu mieux exploiter certains éléments (et évidemment, la technique est toujours à la rue). Le prix reste toutefois élevé de mon point de vue.

Cherchant un petit jeu à compléter pour finir l'année, je suis tombé sur ce titre en fouillant une liste au hasard. Une esthétique adorable pour un petit plateformer décrit comme "mignon et sans prise tête" fut au final mon expérience vidéoludique la plus frustrante de cette année.

Magical Pop est effectivement un jeu très mignon comme le souligne sa jaquette au style magical girl enfantin. On y contrôle une petite princesse dans un univers assez léger, notre héroïne est très expressive, il y a de belles animations, c'est coloré, la musique est sympathique, et tout ce qu'on pourrait reprocher sur la réalisation serait quelques lenteurs dans certains passages surchargés.

Cependant, j'ai trouvé à coté l'expérience de jeu plutôt frustrante. Ce n'est pas un mauvais jeu, ni même un challenge vu que le jeu est généreux en item de soin, le système de magie est intéressant et le jeu se permet un petit coté exploration bienvenu.
Mais, dans la grande tradition des jeux de plateforme design dessin animé de la Snes, le jeu regorge de petit truc agaçant. Que ça soit certaines collisions, les paternes de certains ennemis, l’écran qui cache par moments certains détails, ou le placement de certains pièges... Le point qui a cependant le plus usé de ma patience fut la gestion du grappin, qui est l'une des pires que j'ai pu voir dans un jeu du genre. Le niveau de glace et son passage sous timer avant le boss resteront dans mes mémoires, mais pas pour les bonnes raisons...

En bref, un jeu à l'esthétique très mignonne mais dont l'accumulation de petite frustration et de son grappin me laisseront une expérience un peu mitigé.

Un très bon puzzle game très agréable à prendre en main, disposant d'une excellente esthétique féerique avec des personnages au chara design et sprites très réussi et adorable.

Vraiment dommage qu'à l'international on se soit retrouvé avec une version totalement remanié (nommé Tetris attack) qui à remplacé tous les personnages par ceux de l'univers Mario, jetant à la poubelle l'esthétique propre du jeu, les américains vous avez du sang sur les mains.

En vrai, il n'est vraiment pas folichon, clairement le moins bon des Devil May Cry, mais est-ce à ce point une purge totale ?

Certes le jeu manque clairement d'ambition et d'aura par rapport à son prédécesseur, le gameplay est moins dynamique avec un jeu d'épée mollasson et un avantage très net des armes à feu rendant les combats répétitifs, les boss et les niveaux sont peu inspirés, l'histoire n'est pas très passionnante à suivre avec sa narration bordélique, son doublage imbuvable et son Dante un poil trop sérieux ...

Mais d'un côté ça va, le jeu n'est pas trop long, il ne possède pas de problème mécanique ou physique comme ce que l'on pourrait attendre d'un jeu ayant une réputation de purge, ça se laisse couler en faisant office de défouloir moyen.
Il y a même eu de rares points d'améliorations/idée par rapport au premier qui seront conservés par la suite : Une caméra moins bordélique, la possibilité de jouer un autre personnage que Dante ou encore une évolution sur la mécanique de Game Over afin de le rendre moins punitif, évitant la frustration.

En somme, le parfait portrait du jeu d'action très moyen de l’ère PS2. Mais vu qu'il s'agit d'un jeu d'une série renommée provenant d'un studio très réputé, l'exigence est plus élevé, et donc l'addition est bien plus salée.

Ce jeu c'est un peu une preuve que l'apport excessif d'une communauté à un projet peut autant être une bénédiction qu'un détriment :

Un jeu au concept intéressant au potentiel infini mais limité à cause du manque de finition du générateur de pokémon. Mais grâce à la prise de popularité soudaine chez les créateur de contenu, le jeu à attirer l’intérêt de nombreux artistes qui se sont mis à contribuer en créant de nombreuse fusion sur mesure et souvent réussites, enrichissant beaucoup le concept de base et laissant profiler de belle perspective d'évolution pour le projet.

Cependant, le gain de popularité soudain et les "epic reaction" de certains streamers ont incité certains artistes à faire n'importe quoi, en créant des fusions qui ne ressemblais plus à des fusion, ni même à des Pokémons, avec bon nombre de "fusion" qui sont en réalité des mêmes, des personnage d'animé ou de fiction, ou autres référence d'internet, sans parler du fait que la création de contenu autour de jeu se résumant plus à des réactions exagéré autour de ces "fusions" plutôt que sur le jeu en lui même... De quoi m'avoir coupé l’intérêt que je pouvais porter au concept.

D'autant plus qu'en dehors des fusions, le fangame est plutôt moyen. Bien qu'il y ait bon nombre d'option de personnalisation, le jeu manque beaucoup de finition sur plusieurs aspect.